Mort de Nahel : après la France, la colère déborde jusqu’à Bruxelles
Le ressentiment a dépassé les frontières hexagonales après la mort de l’adolescent, embrasant la capitale belge dans la nuit du jeudi 29 au vendredi 30 juin. Une soixantaine de personnes ont été interpellées, tandis que la police a annoncé 250 blessés dans ses rangs.
n drame français qui résonne jusqu’en Belgique. Alors qu’on pensait la vague de colère causée par la mort de Nahel mardi 27 juin circonscrite à la France, voilà que Bruxelles a aussi été en proie à des tensions dans la nuit du jeudi 29 au vendredi 30 juin.
Tout a commencé dans la journée de jeudi avec un mot d’ordre sur les réseaux sociaux appelant à des rassemblements de protestation. Quelques centaines de jeunes se sont alors retrouvées à Bruxelles, principalement dans le centre de la ville, autour du quartier d’Annessens et près de la gare du Midi, et ont commencé à ériger des barrages de rue, notamment avec des trottinettes et des cartons.
Le préfet de Guyane et le procureur de la République de Cayenne précisent les circonstances de la mort d’un homme causée par une « balle perdue » tirée en direction des policiers
Les circonstances de la mort d’un homme de 50 ans à Cayenne, en Guyane, ont été détaillées par le préfet de Guyane et le procureur de la République de Cayenne. « Au moment où les forces de police se retiraient, un coup de feu a été tiré en direction des policiers, a déclaré le procureur lors d’une conférence de presse, selon des propos rapportés par Franceinfo. Un homme de 50 ans a été touché au thorax et est décédé quelque temps après. »
D’après le préfet, la victime se trouvait sur son balcon quand elle a été touchée. Selon Franceinfo, un responsable de la police locale a affirmé que les forces de l’ordre ont essuyé « de nombreux tirs à balles réelles » cette nuit. Toujours d’après nos confrères, une enquête a été ouverte, et l’auteur du tir mortel reste recherché.
Pensate: da noi sotto la dittatura di Draghi i manifestanti s'inginocchiavano a recitare il rosario sotto gli idranti della polizia, o sfilavano pacificamente in simpatici cortei multicolori... Gli stranieri invece mettono a ferro e fuoco un paese, quando toccano uno dei loro. Età media dei dimostranti arrestati in Francia: 17 anni. Come quello a cui hanno sparato mentre cercava di sfuggire a un posto di blocco, alla guida di una Mercedes senza patente...
Cosa pensate che succederà quando questi giovani energumeni, in qualunque nazione europea, decideranno di prendersela con la popolazione locale, imbelle e del tutto impreparata a far fronte alla violenza? La domanda è chiaramente retorica. Forse, se una parte del nostro popolo merita ancora di sopravvivere, sarà la volta che ci svegliamo.
@BrunoWald. Eh sì, ci potremmo trovare improvvisamente davanti a una cruda realtà a sperimentare con mano che cos'è una vera emergenza. Altro che generali degli alpini, protezione civile e bandiere alle finestre. Cosa ci si può aspettare, d'altra parte, da una società che da anni vive alimentata da menzogne e mistificazioni? Che vada sempre "tutto bene" ?