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Zret, ecco la conferma alle scie


Anonymous
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Zret, in molti troppi ti hanno dileggiato, ma ora puoi farti rivalere sulle scie chimiche e sull'azione criminale soprattutto degli Usa sull'ambiente.

Questo articolo,in francese ed inglese, serve a mettere le mani avanti su un qualcosa che già esiste, ed al quale adesso si prepara la massa a rendere ufficiale la pratica Haarp, scie chimiche etc.

Lascio a te poi sviluppare la questione, perché dell'argomento nei hai fatto una sorta di battaglia dove hai dovuto(insieme ad altri)affrontare il dileggio degli anticomplottisti, e questo articolo è la prova che avevi, avevamo ragione.
Le conseiller scientifique d’Obama n’exclut pas le recours à la géo-ingénierie
10 avril 2009
Nous sommes sur une trajectoire menant aux 650 ppm de CO2, qui se traduiraient par une augmentation de température de 4°C. Les milieux scientifiques commencent à prendre peur que l’inaction des politiques sur le front du réchauffement climatique ne laisse bientôt plus d’autre choix que d’appuyer sur le bouton « panique », celui de la solution de dernier recours : la tentative d’intervenir sur le climat à l’échelle de la planète à l’aide des technologies dites de géo-ingénierie. John Holdren, premier conseiller scientifique de Barack Obama, a publiquement évoqué cette possibilité en indiquant qu’aucune approche ne devait être écartée à priori.

Par Alok Jha, The Guardian, 9 avril 2009
La situation sur le front du réchauffement de la planète est devenue tellement sombre que le conseiller scientifique en chef de Barack Obama a abordé avec le président la possibilité de mettre en oeuvre sur une échelle massive des technologiques de « géo-ingénierie » visant à modifier le climat.
John Holdren, qui est un membre du cabinet du président, a déclaré aujourd’hui que ce type de mesures drastiques ne devait pas être écarté dans les discussions sur la meilleure façon de lutter contre le changement climatique. Bien que ses services ont précisé qu’il n’avait pas proposé un changement radical de politique, M. Holdren a toutefois déclaré que le recours à la géo-ingénierie ne pouvait être exclu.
« Cela doit être examiné. Nous ne pouvons nous permettre le luxe d’écarter une quelconque approche », a indiqué Holdren lors d’un entretien accordé à Associated Press. Il a alors précisé qu’il exprimait ses vues personnelles.
L’ensemble de ces solutions « méga-technologiques » vont de l’installation de miroirs dans l’espace, qui réfléchiraient la lumière du soleil, à la fertilisation des océans avec du fer afin de favoriser la croissance des algues qui peuvent capturer le dioxyde de carbone de l’atmosphère. Une autre option est d’ensemencer les nuages qui renvoient les rayons du soleil vers l’espace afin de limiter le réchauffement de la surface du globe.
De telles solutions technologiques à l’échelle mondiale pour lutter contre le changement climatique peuvent sembler fantastiques, mais un nombre croissant de scientifiques soutiennent que ces technologies devraient au moins être étudiées.
Les déclarations de M. Holdren ne signifient pas que le gouvernement des États-Unis mette la priorité sur la géo-ingénierie. Un porte-parole de l’Office de Politique Scientifique et Technologique (OSTP) - que dirige Holdren - a indiqué que « l’objectif principal de l’administration est encore de rechercher la mise en place de législations en matière d’énergie qui peuvent nous rapprocher d’une économie basée sur une énergie propre, et peuvent créer des emplois verts tout en réduisant la dépendance au pétrole venant de l’étranger. »
Les défenseurs de cette technologie ont accueilli avec satisfaction ces déclarations. Stephen Salter, un ingénieur de l’Université d’Edimbourg et l’un des pionnier des techniques d’ensemencement de nuages afin qu’ils reflètent les rayons du soleil vers l’espace, a déclaré : « Tout ceux qui travaillent dans le domaine de la géo-ingénierie le font avec une certaine réticence : nous espérons qu’elle ne sera jamais nécessaire, mais nous craignons qu’elle puisse le devenir très rapidement. Holden s’en fait exactement l’écho. C’est très encourageant - nous avions eu des réactions extrêmement négatives des gouvernements du Royaume-Uni. »
M. Salter déclare que les techniques de géo-ingénierie sont les seules méthodes qui permettraient de réduire la température du globe assez rapidement. Même si les émissions de CO2 cessaient demain, précise-t-il, la planète continuera à se réchauffer durant plusieurs décennies. « Les opposants disent que cela réduirait les efforts en direction du développement des énergies renouvelables. J’ai travaillé sur les énergies renouvelables depuis 1973 et j’ai arrêté parce que nous sommes trop en retard, nous avons perdu trop de temps. Nous pourrions avoir une panique très bientôt en raison de la façon dont les choses évoluent avec les glaces de l’Arctique. »
Doug Parr, responsable scientifique de Greenpeace, estime que « la question la plus importante n’est pas celle des avantages et des inconvénients de technologies particulières, mais le fait que la communauté scientifique commence à avoir tellement peur de notre incapacité collective à lutter contre les émissions impactant le climat que de tels programmes non conventionnels sont maintenant considérés comme méritant une étude sérieuse. Nous avons déjà la technologie et le savoir-faire pour réaliser des réductions spectaculaires des émissions dans le monde, mais ce n’est pas le cas, et ceux qui sont les plus au fait de la science du climat se rapprochent du moment d’appuyer sur le bouton panique ».
M. Holdren a reconnu que quelques-unes des solutions de géo-ingénierie pourraient avoir des effets indésirables, et que ces actions ne doivent pas être entreprises à la légère.
Par exemple, l’ensemencement des nuages pourrait refroidir la terre, mais aussi entrainer une acidification des océans, car la quantité de CO2 dans l’atmosphère - et donc les émissions de CO2 absorbée par la mer - continuerait d’augmenter. Mais Holdren a ajouté : « Nous pourrions devenir suffisamment désespérés pour vouloir l’utiliser. »
Ses propos semblent aller à l’encontre de ceux qu’il avait tenu lors d’un discours prononcé à la réunion annuelle de l’Association Américaine pour l’Avancement des Sciences en 2007. Il avait alors insisté sur le potentiel de la géo-ingénierie pour aider à refroidir l’atmosphère ou à éliminer les gaz à effet de serre, mais avait reconnu que ces méthodes exigeraient probablement des investissements importants, et avait également mis en garde contre l’espoir qu’une seule solution technologique puisse résoudre les problèmes énergétiques et climatiques. « La croyance dans les miracles technologiques est généralement une erreur », avait-il averti.
Dans une édition spéciale consacrée à la géo-ingénierie du journal Royal Society Philosophical Transactions publiée en 2007, Brian Launder, de l’Université de Manchester et Michael Thompson de l’Université de Cambridge, écrivaient : « bien que de telles interventions à l’échelle du globe puissent être risquées, le temps pourrait venir où elles seront considérées comme moins risquées que l’inaction. Le sentiment s’accroit que les gouvernements ne parviennent pas à faire face à l’urgence de la mise en place des mesures qui permettraient certainement à notre planète de trouver un équilibre sécurisé. »
Dans plusieurs publications les experts ont averti que la réticence constatée « à presque tous les niveaux » pour freiner la hausse des émissions de gaz à effet de serre signifie que le niveau de CO2 dans l’atmosphère était sur une trajectoire de dépassement des 650 parties par million, ce qui pourrait se traduire par une élévation de la température g
lobale moyenne de 4°C. Ils ont également appelé à ce que soient entreprises davantage de recherches sur les solutions de géo-ingénierie qui permettraient de refroidir la planète.
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Publication originale The Guardian, traduction Contre Info
Référence
http://contreinfo.info/article.php3?id_article=2646

Obama climate adviser open to geo-engineering to tackle global warming

Mooted geo-engineering fixes for climate change include placing mirrors in space that reflect sunlight from the Earth. Photograph: Blue Line Pictures/Getty Images
The global warming situation has become so dire that Barack Obama's chief scientific adviser has raised with the president the possibility of massive-scale technological fixes to alter the climate known as 'geo-engineering'.
John Holdren, who is a member of the president's cabinet, said today the drastic measures should not be "off the table" in discussions on how best to tackle climate change. While his office insisted that he was not proposing a dramatic switch in policy, Holdren said geo-engineering could not be ruled out.
"It's got to be looked at. We don't have the luxury of taking any approach off the table," Holdren said in an interview with Associated Press. He made clear these were his personal views.
The suite of mega-technological fixes includes everything from placing mirrors in space that reflect sunlight from the Earth, to fertilising the oceans with iron to encourage the growth of algae that can soak up atmospheric carbon dioxide. Another option is to seed clouds which bounce the sun's rays back into space so they do not warm the Earth's surface.
Such global-scale technological solutions to climate change may seem fantastical, but increasing numbers of scientists argue that the technologies should at least be investigated.
Holdren's comments do not mean that the US government is raising the priority of geo-engineering. A spokesman for the US Government's Office of Science and Technology Policy (OSTP) - which Holdren directs - said "the administration's primary focus is still to seek comprehensive energy legislation that can get us closer to a clean energy economy, and can create green jobs while reducing dependence on foreign oil."
Advocates of the technology have welcomed the comments. Stephen Salter, an engineer at Edinburgh University and a pioneer of techniques to seed clouds so that they reflect the Sun's rays back into space, said: "Everyone working in geo-engineering works with some reluctance: we hope it'll never be needed, but we fear it might be needed very very urgently. Holden is echoing that exactly. It's very encouraging – we've had extremely negative reactions from the UK governments."
Salter said that geo-engineering techniques were the only methods that would lower world temperatures quickly enough. Even if the world stopped emitting CO2 tomorrow, he said, the world would continue to get hotter for several decades. "Opponents say it would take the pressure off getting the renewables developed. I've been working on renewables since 1973 and stopped because we're too late, we wasted too much time. We may have a panic very soon because of the way the Arctic ice is going."
Greenpeace chief scientist Doug Parr, however, has said: "The wider point is not the pros and cons of particular technologies, but that the scientific community is becoming so scared of our collective inability to tackle climate emissions that such outlandish schemes are being considered for serious study. We already have the technology and know-how to make dramatic cuts in global emissions - but it's not happening, and those closest to the climate science are coming near to pressing the panic button."
Holdren acknowledged that some of the potential geo-engineering solutions could have side effects, and that such actions should not be taken lightly.
Though cloud-seeding, for example, would cool the earth, it would also lead to more acidic oceans, since the amount of CO2 in the atmosphere - and therefore the CO2 absorbed into the seas - would keep increasing. But Holdren added: "We might get desperate enough to want to use it."
His comments seemed to go against those he made in a speech to the annual meeting of the American Association for the Advancement of Science in 2007. There, he highlighted geo-engineering's potential to help cool the atmosphere or to remove greenhouse gases, but acknowledged the methods would likely require significant investment, and also warned against expecting a single technological solution to solve energy and climate problems. "Belief in technological miracles is generally a mistake," he said.
Writing last year in a special edition of the Royal Society journal Philosophical Transactions that was dedicated to geo-engineering, Brian Launder of the University of Manchester and Michael Thompson of the University of Cambridge said: "While such geo-scale interventions may be risky, the time may well come when they are accepted as less risky than doing nothing. There is increasingly the sense that governments are failing to come to grips with the urgency of setting in place measures that will assuredly lead to our planet reaching a safe equilibrium."
In a series of papers, experts said that a reluctance "at virtually all levels" to address rising greenhouse gas emissions meant carbon dioxide levels in the atmosphere were on track to pass 650 parts per million, which could bring an average global temperature rise of 4C. They called for more research on geo-engineering options to cool the earth.
http://www.guardian.co.uk/environment/2009/apr/08/geo-engineering-john-holdren


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mazzi
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Sfortunatamente le scie chimiche aumentano la temperatura (a volte anche di parecchi gradi) e deumidificano l'atmosfera. Come side effect uccidono un numero impressionante di insetti. Infatti non ho potuto fare a meno di notare che sempre, dopo un'intensa attivita' di chemtrails, gli insetti, quelli piu' piccoli, scompaiono letteralmente - vivo in campagna e non e' difficile rilevare il fenomeno.
Il forte aumento della temperatura che si rileva ogni volta dopo l'avvistamento di chemtrails, mi porta a supporre che uno degli scopi principali dell'irroramento sia proprio quello di aumentare la temperatura non di diminuirla. Questo almeno per quanto riguarda l'emisfero nord del pianeta.
Le chemtrails si rilevano un po' dappertutto nell'emisfero nord eccetto in Cina. E guarda caso la Cina non si affaccia al polo. Di conseguenza alla Cina, del disgelo dell'artico non gliene frega assolutamente niente perche' non puo' rivendicare diritti sullo sfruttamento delle risorse polari.


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